LA MORT SOLEIL
Dans les solitudes glacées de ces hivers profonds
Où se noient tristement les larmes des amants
Leurs mains se sont mêlées à leurs regards nacrés.
Pour jamais prisonniers des caprices du temps
Qui les tient immobiles sur les rivages tremblants
Evanescents et glorieux dans les errances des vents.
Séparés pour un temps seulement
De chaque côté de ce vaste néant.
Antonia de la Torre.
LE POEME D'AMBRE
Montcuq 2013
Extrait du recueil: La Mort Soleil
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